GALERIE LA BELLE ETOILE

STREET PHOTOGRAPHY

EXPOSITION DE STREET PHOTOGRAPHY en lien avec le thème « Manger »  
La rue est un lieu qui réunit le monde, « Manger » c’est  réunir,
C’est exprimer. Cultiver. Parfois manquer.
C’est réveiller. C’est une identité.C’est se nourrir. Et rire.

Exposition du 17 au 27 septembre de 10h30 – 13h00 / 14h30 – 18h30, fermé le lundi.

Vernissage et rencontre avec les artistes le samedi 19 septembre dès 18h00.

Adresse : Galerie La Belle Étoile 7, rue des pénitents bleus

EXPOSITION DE STREET PHOTOGRAPHY 
en lien avec le thème « Manger »  
La rue est un lieu qui réunit le monde, « Manger » c’est  réunir,
C’est exprimer. Cultiver. Parfois manquer.
C’est réveiller. C’est une identité.C’est se nourrir. Et rire.


Valérie SIX 

Photographe-auteure basée à Bordeaux depuis 2014, Valérie Six est née et a grandi dans le Nord de la France puis en région parisienne. 
Elle étudie le mandarin aux « Langues’O » à Paris, formation qu’elle complète par de longs séjours en Chine et à Taïwan. Sa passion pour la photographie la conduira à suivre une formation à l’Ecole des Gobelins pour devenir photographe. L’artiste s’exprime principalement en milieu urbain, utilisant la rue comme décor pour composer, avec les passants, de petites scènes éphémères, projections de ses émotions et interrogations sur les mutations du monde qui l’entoure. Des images sensibles, énigmatiques, appelant à la narration.

Les images de Valérie Six ont été largement publiées sur des galeries en ligne et dans la presse écrite (Fisheye, Réponses photo, magazine Eyeshot …). Lauréate ou finaliste de nombreuses récompenses (parmi lesquelles l’IPA 2019), elles ont été exposées dans de nombreuses villes, en France et à l’étranger (Bordeaux, Arles, Marseille, Londres, Miami, Milan, Kuala Lumpur, Bruxelles, New York et bientôt la Russie).  

Lauréate du concours « Women Street Photographers » pour une résidence d’artiste à New York en décembre 2019, le résultat de son travail a été présenté lors d’une exposition individuelle à la galerie Artspace PS 109 de NYC, en déc. 2019-Janv. 2020. Valérie sera membre du Jury pour le prochain appel à candidature lancé par « Women Street Photgraphers »

http://www.valeriesix.com
https://www.instagram.com/valeriesixlouis/


Olivier CALICIS

Après une vingtaine d’années à assembler des images pour le cinéma et la télévision dans une cellule de montage, il décide de s’en évader. Pour cela, Olivier reprend l’appareil photo délaissé depuis ses études. En accompagnant en Palestine le réalisateur du documentaire qu’il vient de monter, une série de photos naît. Elle sera montrée dans des festivals et lieux d’expositions un peu partout en France, Belgique, Italie, Espagne. Elle gagnera des prix (notamment aux « Nuits de Pierrevert » dont Oliviero Toscani était président du jury). D’autres projets s’enchaînent: une année passée à produire des photos avec les usagers d’un centre d’échange de seringues pour toxicomanes, une longue période à créer un atelier photo avec des dames pensionnaires d’un hôpital psychiatrique, beaucoup de photos avec des musiciens, un stage d’une semaine à faire faire des photos à des aveugles, rencontrer les habitants des Velle de Scampia (rendues célèbres par la série Gomorra), et tant d’autres…

Depuis 10 ans maintenant, Olivier s’est éloigné de cette salle de montage pour se rapprocher de la photographie. Il parcourt le monde, rencontre des gens magnifiques et continue ce travail photographique qui lui permet de se réaliser pleinement. 

https://www.instagram.com/ocalicis_photo/


Françoise CHADAILLAC

Née en Chine, Françoise CHADAILLAC suit une formation de littérature et sociologie à Paris. Elle exerce les métiers de professeur et documentaliste en audio-visuel. Depuis son jeune âge, la photographie l’embarque et par la photographie elle voyage. Son oeuvre accompagne le lecteur sur plusieurs continents.

Partie à Montréal entre 1979 et 1982 pour explorer les espaces urbains, sujet de sa thèse, elle en revient avec une série photographique sur les « stands à patates frites ».

C’est donc sur le contient nord-américain que Françoise nous emmène pour l’été indien(s) #3. Vous y découvrirez également son dernier-né : un livre intitulé « LA REINE DE LA PATATE ou Les Cantines du détour », édité par les Éditions LOCO.

francoisechadaillac.com
editionsloco.com
https://www.instagram.com/la_reine_de_la_patate/

John MACK

John Mack est un photographe américain remarqué à travers son oeuvre « Revealing Mexico ». Cette série de 175 photographies noir et blanc est réunie dans un livre publié en 2010 pour le bicentenaire de l’indépendance du Mexique et le centenaire de la révolution mexicaine.

Diplômé de Duke University, John Mack a commencé comme assistant de production en Antarctique lors du tournage d’un film IMAX « The Endurance: Shackleton’s Legendary Antarctic Expedition » , cette expérience l’a conduit à se rapprocher de l’image et peu de temps après il débute la photographie. En 2002 il déménage au Mexique et de là, il sortira deux livres en collaboration avec l’auteur Susanne Steines : « Xibalbá: Lost Dreams of the Mexican Rainforest » et « Revealing Mexico ». 

« At their Home : Marseille »  est la quatrième publication de John Mack , le photographe y retransmet l’identité et l’authenticité de Marseille.
John Mack est représenté à New York par la galerie Robert Mann.

tifereth.com
https://www.instagram.com/john_c_mack/


Aita WADE

Aita Wade, jeune femme sénégalaise de 23 ans poursuit actuellement une licence en commerce International à Dakar. 

Affectée par le divorce de ses parents, Aita WADE navigue pendant l’enfance à la recherche de l’amour paternel. Ce chemin intérieur l’amène jusqu’à des horizons inconnus. Aita se sent alors projetée au bout du monde. La photographie lui offre un refuge où elle y jette et exprime des ressentis profonds, c’est alors une libération émotionnelle. Pour Aita photographier c’est voir : voir différemment,  prendre de la hauteur et ainsi accepter la vie telle qu’elle vient en commençant par l’acceptation de soi. La belle Étoile a découvert cette jeune photographe lors du concours SEAL SENEGEL, un concours visant à promouvoir le leadership féminin au Sénégal au travers de la création artistique et culturelle.

https://www.instagram.com/aita_wade_/


Laurent GOLAZ

Après avoir exercé différents métiers, Laurent choisit de se tourner vers la photographie. C’est en 2002 qu’il s’installe à Arles.
Et il y cultive sa passion au sein d’un cursus à l’ENSP, d’un Bac pro en photographie et en intégrant un atelier vidéo.

Urbain depuis son enfance, Laurent déambule dans les villes, l’oeil aux aguets d’un détail insolite, d’une géométrie particulière.
Les paysages de Camargue aux lumières changeantes lui sont également sources d’inspiration. Par l’image, Laurent aime façonner le mystère et nous restitue sa passion pour la photographie.

https://www.instagram.com/laurentgolaz/?hl=fr
https://www.instagram.com/laurentgolaz_mobile/


Sophie MURET

Diplômée de Paris School of Business, Sophie intervient pendant dix ans en cabinet de recrutement en tant que «  chasseuse de têtes ».

En 2013, son corps la projette soudainement au bord d’une falaise. Sophie saisit cette chance de renouveler son choix pour la vie. Chaque respiration, chaque souffle long ou court devient un miracle. Cette formidable aventure et expérience de vie lui permet de se rapprocher de ses passions et de celle qu’elle est vraiment.

À l’affût d’elle-même, Sophie a découvert la photographie comme un continent de son âme encore enfoui. Elle y trouve une source de vie et de joie inépuisable. C’est alors que ses images exposées, la magie d’Arles opère et vient compléter cette découverte. « La vie est une aventure de chaque instant » et en photographiant, Sophie suit son instinct. La prise d’images lui offre des vibrations supplémentaires pour souffler plus loin des émotions captées et exprimer la joie et la sensibilité qu’elle transpire.

sophiemuretphotography.com
https://www.instagram.com/sophiemuretphotography/
https://www.facebook.com/SophieMuretPhotography/

Guy MONNET

Guy Monnet photographe autodidacte, né en 1956, vit dans le Lubéron France. Après un premier rapport à l’image par le dessin, Guy Monnet développe ses premières images à 17 ans, et découvre que ce n’est pas le monde qui façonne notre regard mais nos ressentis qui modèlent notre perception du monde. Cette révélation le pousse véritablement vers la photographie. Aux Beaux-Arts en atelier photo, il développe sa pratique et son analyse de l’image.

Parallèlement à son travail de photographe, Guy Monnet, est devenu enseignant de Tai-chi-chuan. La pratique de cet art martial s’est jointe à son axe de recherche photographique : mettre en lumière le spirituel au cœur du quotidien.

La photographie est un moyen pour lui d’élargir son champ de vision, de trouver le rare dans l’habituel, d’instaurer une fracture dans le raisonnement.Pour Guy Monnet, une photographie réussie doit nous inviter à être à ce qui nous fait face, à voir ce qui cherche notre présence, à induire une forme de gratitude face au pur jaillissement de la vie. Elle doit pouvoir nous aider à trouver quelque chose que l’on ne trouve nulle part ailleurs : une invitation à écouter le silence.

pictures-of-silence.com
https://www.instagram.com/guymonnetphotographe/
https://www.facebook.com/GuyMonnetPhotographe/


PERSPECTIVES #2 – Dessins et peintures d’un sculpteur.

Harold AMBELLAN 

La rue est un lieu qui réunit le monde…En parallèle de l’exposition de photographie de rue, La belle Étoile présente l’oeuvre de l’artiste Harold Ambellan, « Perspectives #2 »

De New York où Harold naît en 1912 et développe son art, en passant par le MoMa, jusqu’à Arles où il s’éteint en 2006 , son art résonne sans fin. Le mouvement se sculpte et se dessine, Harold Ambellan nous transmet par la richesse de sa création, le relief de la vie et une « architecture » haute en couleur et en émotion.

« Perspectives #2 », une mise en lumière de l’oeuvre d’Harold Ambellan en résonance à la « donation Harold Ambellan » exposée actuellement au Musée Réattu.

ambellan.weebly.com